Pour quelques observateurs de la vie politique gabonaise, l’ancien candidat malheureux à la présidentielle de 2016, Jean Ping, voudrait se servir des événements de Ndangui en peignant un tableau sombre des faits souvent loin de la réalité afin de s’attirer un capital sympathie auprès de l’opposition laquelle le conteste et des populations qui l’on déjà rejeté.
« La stratégie de Jean Ping est bien connue. Il n’y a plus aucun espoir pour lui. A 2 ans des prochaines élections présidentielles, malgré toutes les assurances données à ses partisans, il n’est pas parvenu à prendre le pouvoir. Il ne lui reste plus qu’à critiquer chaque action posée par le régime ou discréditer le pouvoir face à des situations comme celles de Ndangui. Objectif: s’attirer un capital sympathie», expliquent certains observateurs.
En effet, l’opposant a de manière irresponsable accusé l’exécutif d’avoir failli devant les présumées exactions qu’auraient commis des agents des forces de défense à Ndangui contre des compatriotes. Une sortie jugée irresponsable et inapproprié de la part de plusieurs diplomates accrédités dans notre pays du fait que ces accusations ne reposent sur aucune preuves, encore moins sur une narration véritable des faits.
La vérité sur le sujet est que ce sont environ cinquante personnes, dont des compatriotes et des expatriés en situation irrégulière, qui ont été interpellées pour nécessité d’enquête. Par ailleurs, 40 maisons ont été brûlées par un jeune orpailleur d’origine tchadienne afin de pousser les populations à l’affrontement avec les agents des forces de défense. Ce dernier a, lui aussi, été interpellé et reconnu les faits.
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