le Gabon compte s’inscrire dans la valorisation de ses ressources forestière

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Grace à sa bonne gestion de l’environnement et de ses forets qui absorbent près de 100 millions de tonnes de CO2 par an, le Gabon compte d’avantage s’inscrire dans la valorisation de ses ressources forestière.

Comme démarré en 2011 par le président Ali Bongo Ondimba, lors de la Conférence de Durban sur le changement climatique, ou il a poussé le Gabon plus loin sur la voie du développement durable, en retirant le pays du processus REDD+ de la Convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques, le pays veut désormais faire plus.

L’interdiction d’exporter les grumes non transformées du Gabon en 2009 par le chef de l’Etat a en effet favorisé le fait que le pays a pu gérer ses forêts de manière durable. Car, les exportations des matières premiers bons marchés au reste du monde participaient à la destruction de ce deuxième poumon forestier mondial. Elle a également permis d’accroître la valeur potentielle de cette forêt qui était estimée à 8 % et de créer ainsi des emplois sans réaliser des exportations des grumes.

Ce résultat n’a été possible que parce que  Ali Bongo Ondimba avait rapidement pris conscience qu’il aurait été totalement irresponsable de parier l’avenir de l’économie gabonaise et de ses forêts sur la bonne volonté des nations donatrices. Raison pour laquelle, il a instruire ses différents gouvernements de construire un nouveau modèle de développement, sur l’exemple du Costa Rica, qui assurerait à la fois le développement économique et social du Gabon et l’avenir de ses forêts tropicales.

Résultat, le Gabon est le premier pays africain à être payé pour ses efforts contre la déforestation. Le Gabon a ainsi été sur le plan climatique et politique l’une des zones les plus stables d’Afrique, ce qui explique en grande partie son exceptionnelle biodiversité.

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