
Le phénomène fait rage tant dans le Grand Libreville qu’à l’intérieur du pays.Ainsi Jules Djeki, gouverneur de la province du Woleu N’tem a appelé la police et la gendarmerie à stopper le racket.
En réunion avec les responsables des forces de l’ordre en début janvier, Jules Djeki n’a pas manqué d’interpeller ces derniers à plus de discipline et à moins de vénalité. En effet, le phénomène de racket dans la province du Woleu N’tem asphyxie les populations et les plaintes semblent avoir percées le plafond.
La multiplication des postes de contrôle, entre autres, dans la région est jugée incompréhensible et rendrait caduque la circulation routière. Pour y remédier les responsables de la police, de la gendarmerie, de l’armée de terre , de la Direction Générale des Recherches , de la Direction des Contre Ingérences et de la Sécurité Militaire ( B2) et de l’ Office Central de Lutte Antidrogue ( Oclad) ont pris part à cette rencontre.
Le trop-plein de postes de contrôle a amené le gouvernement de ladite province à mette en place » des postes mixtes et des postes mobiles » pour non seulement atténuer les plaintes récurrentes des usagers( transporteurs de marchandises , automobilistes, et autres usagers) mais également pour changer l’image exécrable des Forces de l’ordre auprès des populations